Un ancien poème du Cheikh Mohammed al-Madani, écrit en dialecte tunisien. Il y incite les frères à rendre visite à leur Maître avec passion et volonté. 1) Allons-y les frères ! Que nous rendions visite à notre père, détenteur de la Preuve. 2) Allons lui rendre visite...
Cheikh Muhammad al-Madani composa ce poème vers 1920 lors d’une visite rendue à son maître Cheikh Ahmad al-Alaoui. Il y décrit son amour ardent et lui demanda de l’aider à s’élever davantage sur la voie de la connaissance divine. 1. Est-ce le désir ardent qui m’amena...
1. Rapportes-tu de Laylā un récit véridique ? Fais m’en part ; afin que cesse ma perplexité. 2. Rafraichis mon cœur par la douceur de ses paroles ! C’est un breuvage qui vivifie les os (morts) et les ressuscite. 3. Le pacte qui me lie à Elle est le « Pacte ancien » 1....
Voici une Quasida dans laquelle shaykh Madani évoque le moment où il a reçu la mission de s’éloigner de son maître afin de diffuser la « Voie ». Même si ce moment est le révélateur d’une expérience spirituelle mature, il n’en demeure pas moins difficile, en quelque...
Ce poème a été composé lors de la seconde guerre mondiale (1939-1945). Cheikh Muhammad al-Madani en fut affecté. Il se dirigea vers Allah pour lui formuler cette innovation. 1. Toi, Doux avec les créatures ! Ô Généreux! Ô Bienveillant ! 2. Toi, Dispensateur de dons !...
Ce nouveau poème du Cheikh al-Madani contient beaucoup d’éléments, très profonds à relever, des joyaux de doctrine extrêmement précieux pour la compréhension de la Voie et pour s’élever dans la connaissance du Très- Haut. En particulier l’inter action du Hiss et du...
Allusive et imagée, la poésie des Gens d’Allāh n’est autre qu’un appel d’humilité invitant à embraser la Vérité divine. Chaque expression, chaque parabole, chaque phrase est un cri sincère décrivant les amours ardentes. Cet amour, nul mot ne peut le contenir ou le...
1. Toi qui es aussi beau qu’un « jeune marié », Toi, soleil de la manifestation, 2. Toi dont le regard est beau, tu es plus beau que la plus belle des pleines lunes, 3. Tu es venu au monde invisible pour soulager les poitrines (oppressées), pour en être la clef; 4....
De ta lumière les éclaires, de toutes les créatures tirent leurs brillances.
La vérité réelle m’a enveloppé dans la Lumière, et je suis devenu la source de la beauté.
J’étais autre et je suis (devenu) la source, mais je n’ai pas dit que je suis autre que Toi.