« Yā Latīf ! », (Ô Toi, le Doux !), est également une courte invocation, très puissante, d’un Nom divin qui synthétise les attributs de

As-Suyūtī dit : « J’ai rapporté, à ce sujet, une tradition musalsal [récit rapporté avec les gestes l’accompagnant] que m’avait transmis notre Maître, l’Imām Abū

Oui, l’invocateur doit purifier son intention et en enlever les taches d’ostentation. L’Ikhlās (pureté des intentions) est l’esprit des actions, comme l’avait dit Ibn ‘Atā’

Cheikh Sidi Mohammed Al-Mounawwar al-Madani, qu’Allah le préserve, dit dans une moudhakara (rappel) : « Les meilleures invocations par lesquelles on pourrait invoquer Allah, en
![[ar]سيدي علي الحاج حسن (الشبيلي)[fr] Sidi ‘Ali Chbili, (Ville deChrahil, Tunisie)](https://madaniyya.com/wp-content/uploads/2020/08/jpg_-_-_-_-_-2-712x500.jpg)
Un beau jour, sidi ‘Ali Chbili, (Ville deChrahil, Tunisie),que Dieu ait son âme, posa cette question à son Maître Sidi Mohammad Al-Madani: – Invoquez-vous (encore)
![[ar]جمع من الفقراء في استقبال الشيخ المدني العائد من الحج[fr]Les Les Fouqaras accueillent leur cheikh à son retour du Hajj](https://madaniyya.com/wp-content/uploads/2020/08/jpg_-_-_-3-900x500.jpg)
Un ancien poème du Cheikh Mohammed al-Madani, écrit en dialecte tunisien. Il y incite les frères à rendre visite à leur Maître avec passion et

بِسْمِ اللَّهِ الرَّحْمَنِ الرَّحِيمِ C’est une missive que le Cheikh Mohammad al-Madani envoya à Sidi Hsine ABDELHEDI, le Moquaddam de la ville de Sfax le

Nous avons des trésors littéraires dans notre voie Madanyya, écrits par notre cher bien-aimé Cheikh Mounaouar al-madani qui a, comme but de sublimer notre Maître

5. Considérer le jeûne parmi les piliers de l’Islam, [méditer] ce qu’il contient de sagesse évidente visant à purifier l’âme et à l’éduquer à dominer les forces corporelles, est un principe établi et indéniable. Nous n’avons pas besoin de le rappeler davantage aux Musulmans. Cependant, ce qui a besoin d’être rappelé et mis en évidence, pour beaucoup d’entre eux, ce sont les états (aḥwāl) qui doivent accompagner le jeûne pour qu’il soit réalisé, par le Musulman, conformément aux finalités religieuses voulues.

Dans de nombreuses traductions françaises du Coran, « al mu’min » est traduit par le terme « croyant » ou encore « véritable croyant ».