[rouge]Seigneur ![/rouge]
[bleu]Je me plaints à Toi de ma faiblesse, de la pauvreté des mes moyens, du mépris dans lequel me tiennent les gens. [/bleu]
[bleu]Tu es le plus miséricordieux des miséricordieux,[/bleu]
[bleu]Tu es le Seigneur des faibles ; et Tu es mon Seigneur ![/bleu]
[bleu]A qui me livres-Tu ?[/bleu]
[bleu]A un proche qui me jette un regard dur ?[/bleu]
[bleu]Ou à un ennemi à qui Tu donnes un pouvoir sur moi ?[/bleu]
[bleu]Tant que Tu ne m’en veux pas, je n’en ai cure.[/bleu]
[bleu]Mais Ta Grâce est pour moi un plus vaste horizon.[/bleu]
[bleu]Je cherche refuge dans la Lumière de Ta face – par laquelle s’illuminent les ténèbres et s’ordonnent les choses d’ici-bas et de l’au- delà- afin que Tu ne fasses pas descendre sur moi Ta colère et que Ton courroux me soit épargné.[/bleu]
[bleu]Que Tu sois agrée comme il Te convient.[/bleu]
[bleu]Il n’y a de pouvoir ni de force qu’en Toi.[/bleu]
Rapporté par al-Tabarānī dans la Grande compilation ( 13/73/181 ) et Ibn Asākir ( 14/178/2 ).
Allāhumma
innī achkū ilayka ḍa‘fa quwwatī wa qillata ḥīlatī wa hawānī ‘alā n-nās
Anta arḥamu r-Rāḥimīn, wa Rabbu l-mustaḍ‘afīna, wa anata Rabbī,
ilā man takilunī?
Ilā qarībin yatajahhamunī,
aw ilā ‘aduwwin mallaktahu amrī,
in lam yakun bika ‘alayya ghaḍabun falā ubālī,
ghayra anna ‘āfiyataka hiya awsa‘u lī,
A‘ūdhu bi-nūr wajhika la-dhī achraqat lahu ḍhḍhulumāt, wa ṣaluḥa ‘alayhi amru ddunyā wal-ākhirah an yanzila bī ghaḍabuka,
aw yaḥilla bī sakhaṭuka,
laka l-‘utbā ḥattā tarḍā,
wa lā ḥawla wa lā quwwata illā bika
Rapporté par al-Tabarānī dans la Grande compilation ( 13/73/181 ) et Ibn Asākir ( 14/178/2 ).
Traduction A. Madani